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Nous quittons le Pays Basque, pour une petite visite de la cité orthésienne dans le Béarn.
Les choeurs Etorburu
" Ilintxarbe "
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Orthez est implanté au pied des Pyrénées, au carrefour de la Chalosse landaise, du Pays Basque et de la Bigorre.
Le gave de Pau
Ruelles pavées, ornées de pavois sur les façades
Le " vieux Orthez " avec ses toits bien particuliers aux tuiles rouges, en bordure du gave
L' église de style roman, flanquée de ses deux grandes tours
Le pont vieux fortifié, datant du XII ème et XIV ème siècle, emjambe le gave de Pau
Il est commencé par Gaston VII de Moncade au moment où celui-ci fait d' Orthez la capitale du Béarn et y transporte sa cour.
A l'origine , il possède deux tours, il est aujourd' hui remarquable par ses arches inégales et sa tour centrale
Il a résisté aux deux assauts importants qu' à subit Orthez en 1569 par les troupes protestantes de Montgomerry et en 1854 par celles de Wellington lancées derrière les troupes napoléoniennes.
les ruines des fortifications tout le long du gave de Pau
Petites grottes
Vieille tour
le square de la Maison de Jeanne d' Albret
Riche demeure du XVI ème siècle, elle fut donné au roi Antoine de Bourbon et à Jeanne d' Albret, mère du futur roi Henri IV.
Elle accueille aujourd' hui au rez-de-chaussée l'office du tourisme, et au premier étage le musée du Protestantisme Béarnais
Dans la cour, plusieurs annexes dont, le pigeonnier à colombages du XVI ème siècle s' élevant à 11 mètres de haut
Les vestiges d' un ancien puits
Une vue d' ensemble avec le pigeonnier et le square
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HEGOA
Chants traditionnels
" Ara-nun-diran "
Le village d' Irouléguy est situé à 5 km à l' est de Saint-Etienne-de-BaÏgorry, en direction de Saint-Jean-Pied-de-Port au pied du versant Sud du mont Jara, à 175 m d' altitude.
Ce sont les moines Augustins de Roncevaux qui plantèrent les premiers pieds de vigne, dans la vallée, au Moyen-Age. Le vin était destiné aux pélerins qui cheminaient en direction de Saint-Jacques-de-Compostelle. la topographie des lieux les obligeat à créer des terrasses pour implanter le vignoble.
Au-dessus du village se trouvent les vestiges de la chapelle Saint-Vincent d' Irouléguy, qui était, jusque dans le premier quart du 20 ème siècle, l'église paroissiale du village
Menaçant ruines, elle fut abandonnée et quasi détruite lors de la construction d'une nouvelle église de culte au coeur du village.
Sa construction semble remonter au milieu du Moyen Age, plus vraisemblablement à la période romane, comme l' indique l' utilisation de la pierre de taille de moyen appareil et les fondations semi-circulaires du chevet.
Il ne reste aujourd'hui que la partie Ouest de la chapelle, correspondant à l' entrée, avec sa porte en plein-cintre
On peut accéder à l' étage, par un escalier de distribution extérieur, à volée droite, l' extrémité Ouest de l' édifice
Devant l' entrée de l' église, la pierre tombale d'un seigneur de Baïgorry décédé en 1780
et un ancien bénitier
La majorité des stèles conservées dans la cimetière remonte à la fin du 17 ème siècle ou du début du 18 ème
Deux modèles de croix navarraises
Sculptures sur une stèle discoïdale
Nous continuons notre randonnée à travers les vignes, en direction du mont Jara.
Belle dalle gravée à l' entrée d' un domaine
( vous pouvez cliquer sur l' image pour l'agrandir )
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Chants traditionnels
Avé maria
" HEGOA "
Sur les hauteurs du village d' Urrugne, cachée dans un écrin de verdure, voici la petite chapelle de Notre-Dame-de-Soccori
Tout autour, un cimetière basque, avec ses stèles discoïdales, très anciennes,
Légèrement à l' écart un joli reposoir,
Tout est calme et beauté, un endroit privilégié pour la méditation
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La première chapelle fut construite vers 1627 à la demande des marins d' Urrugne. Ils avaient été engagés par RICHELIEU pour lever le siège de la Rochelle, occupée par les anglais. Leur flotte approchait de l' Ile de Ré, quand le vent tomba et ils se mirent à dériver vers l'ennemi.
Ils prièrent Dieu et se recommandèrent à la Vierge, à qui ils promirent d' édifier une chapelle sous le nom de "Notre Dame du bon secours", si le vent revenait et les sauvait.
Cela se produisit et les marins libérèrent l' ile. Ils tinrent leur promesse , dès leur retour au pays.
Elle fut détruite par les combats de 1793-1794 et reconstruite en 1820.
Chaque année, au mois de mai, une procession monte du bourg d' Urrugne vers la chapelle en chantant un cantique du
"Père Diharce"(1943)
" SOKORRIKO GAINETIK "
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Belle façade en pierre taillée, avec sur le fronton, la statue de la vierge entourée de deux anges, à l' arrière un petit clocheton
Du haut de la butte, la baie de Saint Jean de luz
J' aime beaucoup, aller en pélerinage à Socori, même si l' accès à l'intérieur de la chapelle est fermée, (dommage)
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Fandango " BI-HARRI"
Saint-Jean-de-Luz,Dimanche 6 juin 2010,
Avant le début des festivités, nous allons flâner dans la ville en commençant part le typique port de pêche aux couleurs locales
Le front de mer, et la colline Sainte-Barbe
Sur les hauteurs de la butte, nous faisons face aux célèbres falaises dites
"Pile d' Assiettes "
Quelques vestiges de la digue
Le fort de Socoa
Les jardins de Sainte-Barbe dominent la baie et la grande plage
Table et sièges rustique à souhait..
Comment transformer un simple muret de pierre en un géant banc public..........
Très astucieux!!!
L' heure des animations approche, les premiers échos musicaux flottent dans l' air. Rassemblement de quelques groupes folkloriques à la rue Gambetta.
Je choisis de vous présenter " Nafarroa " de la Basse-Navarre"
Tout le monde participe à la fête avec enthousiasme
Les musiciens..
Oh !!les beaux foulards basques !!!!!!!!
En piste pour la danse...
Une petite farandole
Un petit extrait en vidéo..
Un fandango pour terminer
Le fandango en vidéo
à la maison ADAM, déguster et....acheter les célèbres macarons.
Je peux vous assurer..........ils sont exquis!!!
Délicieusement moelleux et fondants, les macarons de la maison ADAM, seuls véritables macarons de St Jean de Luz, " Paréa Gabéa ", ravissent le palais des gourmands depuis plus de trois siècles.
Elaborés chaque jour à la main selon un savoir-faire ancestral, ces délicates gourmandises dissimulent un ingrédient essentiel : l' essence d'un secret familial transmis de bouche à oreille de maître patissier à maître patissier, de génération en génération.
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