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Au départ de la plage d' Errotégia
Cette première partie de la randonnée, nous offre une diversité d' ambiances, alternant : plages, criques, magnifiques falaises et chemins ombragés.
<<<<<<Alaiak"Gaztea Mintzelarik"
Début d' éboulement
Les vagues viennent se fracasser au pied des rochers
Sur le plateau, dos à l' océan, une chapelle
La côte sauvage, entre Bidart et Guéthary
On distingue, au loin, à travers la brume, les premiers sommets de la chaîne pyrénéenne
Chemin ombragé
Mer agitée, ciel menaçant, le tonnerre gronde au loin
Le port de Guéthary
Un beau jardin en bordure de route, avant de rejoindre le chemin de randonnée
Escalier rustique
Crique, à moitié cachée , au creux de la baie
Encore un escalier.........
Qui mène à une ouverture sur l' océan
des surfeurs attendent le bon spot, et en fond, Biarritz, noyée sous la brume
Les falaises plissées
" La pile d' assiettes " à la pointe Sainte-Barbe
Les jardins en espalier, dominent la plage et la baie de St Jean de Luz
Fin du parcours sur le quai de la plage
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Ciboure
se situe au coeur d' un cadre naturel, authentique et préservé.
Bordée par l' océan atlantique, elle bénéficie d' un climat exceptionnel.
Nous entrons dans la cité par le pont de la Nivelle, elle regroupe deux communes, Ciboure et Socoa et dispose d' un patrimoine architectural qui retrace un passé culturel très riche.
Le " Boléro "
A la sortie du pont, le phare AMONT, témoin remarquable de l' architecture néo-labourdine, conçu par André PAVLOVSKY
Le port, minuscule, peut abriter aussi bien des petits bateaux de pêche que des voiliers où bâteaux de plaisance, il constitue l' un des attraits touristique du village.
Une avancée, fait face au port voisin de Saint Jean de Luz, très fréquentée par les peintres et les aquarellistes.
A proximité du port, l' ancien couvent des " Récollets ", avec son cloître, et un puits citerne édifié au milieu de la cour ( XVI ème siècle )
- Bâtie le long du quai, la maison " Estebana ", la maison natale de Maurice Ravel, avec sa façade de style hollandais est l' oeuvre d' un riche armateur cibourien dit
- " Esteban d' Etcheto ". Elle abrite aujourd' hui l' office du tourisme
Le vieux Ciboure, avec ses ruelles étroites à l'ombre des façades à colombages
L' hôtel de ville, construit en 1721 a conservé tout son charme, avec sa cour pavée et ses balcons aux balustres en fer forgé. Elle abrite au premier étage, une exposition permanente des artistes contemporains.
Située à proximité du fronton, la vieille fontaine, date du XVII ème siècle, elle porte gravée sur la pierre, les armes de la ville.
L' église Saint-Vincent, classée au monument historisque, date de 1575. Elle est surmontée d'un magnifique et très original clocher de forme oc togonale à huit pans.
Sur le parvis, on peut admirer de très anciennes stèles funéraires, dont les inscriptions sont partiellement effacées.
La tour de Bordagain, autrefois
- Elle désigne en fait un ensemble constitué de deux éléments :
- l' ancienne église du XII ème , de type roman à nef unique, et la tour octogonale accolée à l' église. Utilisée initialement de clocher, puis de tour de guet à usage militaire et enfin
- d' Atalaya ( poste d' observation pour la pêche à la baleine).
En face du Fort, le port de Socoa
Illustre enfant du pays,
" Maurice Ravel " compositeur bien connu, auteur du célèbre " Boléro "
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Un peu d' histoire
La frontière avec l' empire de Charles Quint, était une préoccupation des rois de France dès le XVI ème siècle. Le secteur basque, voie naturelle vers l' Espagne est visitée par nombres d' ingénieurs.Henri IV souhaitait, bâtir une forteresse pour protéger Saint jean de Luz et les villes environnantes des invasions espagnoles.
Des conflits d' intérêts entre les communes retardent ce projet, finalement réalisé par Louis XIII
Jeiki-Jeiki
(Peuple basque, lève-toi)
En 1636, les espagnols envahissent la côte basque et poursuivent les travaux du fort, et le renomment " FORT DE CASTILLE ". Au gré des revers militaires, la région retourne sous souveraineté française. L' ouvrage est finalement achevé et prend le nom de " SOCOA "
Au terme des modifications, la tour fut surélevée de deux étages, et complétée de merlons et de mâchicoulis.
Le site sera doté d' une caserne et d' une chapelle.
Deux vues différentes de la digue, prises de la cour de la caserne, tout au bout la pointe Sainte Barbe, et plus loin dans la brume, on distingue Biarritz
En bout de digue, une très belle croix et une cloche, dominent la petite plage du fort
En 1793, le fort sera réinvesti par les espagnols.
En 1814, les troupes britanniques l'utilisent comme appui de protection de la baie, lieu d' approvisionnement des hommes de troupe installés dans l' arrière pays.
La paix revenue, le fort de Socoa, sera remis en état en 1816 et 1817.
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