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En cette journée du 31 décembre, la météo était particulièrement clémente sur la côte basque, les températures avoisinaient les 19 ° et il faisait bon se promener en front de mer et sur les quais du port de Saint-Jean-de-Luz et de Ciboure.
Du quai Maurice Ravel, le port de St jean et le clocher de l' église Saint-jean-Baptiste
Beau ciel bleu sur les montagnes basques
le quai de la grande plage et la colline de Sainte-Barbe, un petit coin de mer
le très original clocher de l' église Saint-Vincent de Ciboure
Derrière l' église , un petit belvédère, d' où j' ai pris la vue générale du port de Saint-Jean, les terrasses de la place Louis XIV font le plein avec ce beau soleil
Nous montons vers Bordagain et la jolie tour de l' ancien télégraphe Chappe, toute pimpante après sa rénovation.
En face de la tour, la très belle tour de Bordagain, elle aussi rénovée, qui domine la baie
Le fort de Socoa
Le port et la maison de l' Infante
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Collines et océan
Le sanctuaire de la Vierge de Guadalupe,
patronne du village de Fontarabie ( Hondarrabia) domine toute la ville.
Il a été construit au XVI ème siècle sur le mont Jaizkibel à 545 m d' altitude. Détruit et reconstruit à maintes reprises, en raison de maintes attaques qu' a connues la cité tout le long de son histoire.
L' édifice actuel date du XIX ème
Le fort de Guadalupe
Cette forteresse située à proximité du sanctuaire, est l' un des plus beaux édifices défensifs de la ville. Commencé en 1890, sa construction fut achevé dix ans plus tard. Pendant la guerre civile espagnole il servit de prison d'.état, puis comme caserne militaire jusqu' à la fin des années 80
A l' entrée du chemin de ronde, le poste de guêt
Ici, une casemate
A flanc de colline, une petite fontaine, décorée d' étranges masques..
Le ciel s'obscurcie de plus en plus et l' orage menace,
L' océan se confond avec l' horizon
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Paysages d' automne au parc Montaury
Petite musique douce
une composition de GG ( stylmusic)
Les palmiers dans le jardin des frondes
Devant la façade de l' université
Le jardin japonnais et ses érables, harmonie en vert et jaune
Hautes herbes et haies de roseaux autour du bassin aux lotus
Feuillages d' or
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Souvenirs de vacances
Nous allons quitter, le Pays Basque, pour une petite visite en Ariège, dans le pays de Mirepoix.
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L' automne est bien installé en cette fin octobre sur la campagne ariégeoise
Perchée sur un blog de " poudingue", l' église semi-rupestre surplombe la vallée de l' Hers et le petit village de Vals qui semble s' être assoupi sous les timides rayons du soleil.
Sur la plate-forme de Rahus, une lourde porte de chêne garde l' accès de l'église. Dans une faille naturelle, un escalier longe les parois rocheuses et paraît s'enfoncer dans les entrailles de la terre
Un baptistère massif, creusé dans la roche attire notre regard
Au fond de cet étroit boyau, une faible lumière éclaire une seconde porte qui donne accès à l' église Sainte-Marie.
Et là ..surprise...Les voutes de la petite nef laissent apparaître de merveilleuses fresques romanes, représentant des scènes de la vie du Christ.
Les autre peintures murales sont quasiment effacées. ( bien que les photos soient interdites, j' ai discrètement réussi à prendre deux clichés..)
Des deux côtés de la nef, deux escaliers de bois, mènent à l' église Saint-Michel bâtie au XII ème siècle.
Par une petite ouverture creusée dans le mur, on accède à la terrasse. La tour qui la domine date du XIV ème.
De la terrasse, le regard s' attarde sur les crêtes pyrénéennes légèrement enneigées. L' immensité des montagnes contraste avec ces vieilles pierres repliées sur l' histoire.
Coté Ouest, les maisons et la campagne environnante
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Navarrenx
La première cité bastionnée de France.
Au coeur des Pyrénées Atlantiques, au sud-est de la plaine béarnaise, Navarrenx est élevée dès 1315 au rang de bastide.
Le pont qui enjambe le gave d' Oloron, à l' entrée de la ville date du XII ème siècle.
Après l' assaut des troupes espagnoles de Charles Quint (en 1523), le roi de Navarre, Henri II d' Albret renforce la protection de la cité sur la rive droite du gave d' Oloron.
Les fortifications et l'entrée Saint-Antoine
Les remparts et l' échauguette
Sur le chemin de ronde, une reproduction d'un vieux canon du XVI ème siècle, témoin de l' armement de l' ancienne place forte (1543)
En contre-bas des remparts, la poudrière construite en 1580 pouvait contenir 25000 livres de poudre
Des remparts, nous descendons vers l' Arsenal, ancienne demeure des Rois de Navarre. Racheté et rénové par la municipalité, il abrite aujourd' hui le centre culturel et touristique de la ville.
Derrière les arcades, les escaliers menant aux fortifications et à la tour de guet
Les ruines des remparts, vers la porte Saint-Germain
Entrée voutée, d' une casemate dans les bastions dit "des contre-mines"
Le bastion des échos et le clocher de l' église Saint-Germain
Escaliers du bastion descendant vers le théatre
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